1 Etape : Alicante à Villena 2

La Ruta de la Lana 2018
1 Etape
Jeudi 17 Mai 2018
Alicante à Villena
68.49kms – 6h21 de selle
Moyenne de pédalage: 10.77 km/h - 15°/35°
Cumul des dénivelés : +953 / –463m Pente maximale : +16.4% / –27.7%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
Hier, Une fois arrivé à mon hôtel à Santiago, je laissais ma voiture dans le parking privé de l’hôtel. Le lendemain matin par un temps radieux, je prenais la route à nouveau pour Alicante lieu de départ de la via del Sureste avec mon véhicule de location.
A mi-chemin sur le trajet aux alentours de Madrid, j’étais tombé dans un orage où il tombait des cordes, un vrai déluge, de gros grêlons et parfois l’autoroute inondée, m’obligeait à rouler au pas.
Cet orage dura pendant une centaine de kilomètres. Les champs aux abords étaient gorgés d’eau. J’étais un peu inquiet pour le lendemain, car les chemins risquaient d’être impraticable dans un état pas possible.
Cet orage dura pendant une centaine de kilomètres. Les champs aux abords étaient gorgés d’eau. J’étais un peu inquiet pour le lendemain, car les chemins risquaient d’être impraticable dans un état pas possible.
De retour à l’hôtel, dernier coup d’œil sur l’étape du lendemain, le GPS, les traces, les cartes, tout était ok. J’avais dormi tranquille, le responsable de l’hôtel avais bien voulu me laisser monter mon VTT dans ma chambre, j’étais serin. Après l’extinction des feux, je me promettais de faire de beaux rêves.
J’ai dormi comme une masse. Sonnerie à 6h, je faignante un peu. Il est déjà 6h15. Je descends mon vélo par l’ascenseur. Une fois dehors, activation du GPS et je pars pour un périple de 1100 kilomètres.
Sorti d’Alicante assez facile, mais déjà de belles montées. J’ai voulu suivre le chemin au plus fidèle de la via del Sureste, mais c’était sans compter sur les difficultés de celui-ci par endroit.
Après une dizaine de kilomètres d’Alicante, le chemin passait en pied de montagne par des endroits pas possible réservé aux piétons mais surtout pas au vététiste que je suis, avec des escalades de rocher impossible à vélo. J’ai dû rebrousser chemin.
Je n’ai pas eu trop le temps de visiter Alicante hier soir, je suis arrivé trop tard, un peu dommage car la ville valait certainement le coup d’œil, surtout du côté du port.
Sorti d’Alicante assez facile, mais déjà de belles montées. J’ai voulu suivre le chemin au plus fidèle de la via del Sureste, mais c’était sans compter sur les difficultés de celui-ci par endroit.
Après une dizaine de kilomètres d’Alicante, le chemin passait en pied de montagne par des endroits pas possible réservé aux piétons mais surtout pas au vététiste que je suis, avec des escalades de rocher impossible à vélo. J’ai dû rebrousser chemin.
Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.
Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures.
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.
Après avoir été voir de plus près, je m’aperçois que même à pied c’est très chaud. Donc demi-tour par une belle descente.
Après Orito, les kilomètres s’enchaînent avec toujours de belles grimpettes et parfois des poussettes.
Après Orito, les kilomètres s’enchaînent avec toujours de belles grimpettes et parfois des poussettes.
A la sortie de la ville, je rejoins ma trace de l’année dernière où là encore je prends une petite variante sur ma droite pour changer un peu, et qui va longer une voie ferrée presque jusqu'à Sax où là, je rejoins ma trace de 2017.
Toujours seul sur ses chemins, je ne suis plus très loin de ma fin d’étape qui n’en finit pas, malgré une bonne piste roulant depuis Sax.
J’arrive enfin à Villena très animée comme beaucoup de ville Espagnol.
Comme il n’y avait pas d’albergue, j’avais réservé un petit hôtel à l’entrée de la ville.
Comme il n’y avait pas d’albergue, j’avais réservé un petit hôtel à l’entrée de la ville.
Après le passage à la douche plus qu’obligatoire et un peu de repos bien mérité, l’établissement n’étant pas équipé de cuisine, je me suis taper une bonne platée de spaghetti carbonara à la pizzéria d’à côté pour recharger les batteries qui en avaient bien besoin.
Bilan de la journée, une étape très dure avec des passages difficiles tout en montées et des poussages casse pattes à répétition par une grosse chaleur.
Bilan de la journée, une étape très dure avec des passages difficiles tout en montées et des poussages casse pattes à répétition par une grosse chaleur.