10 Etape : Cayac à Labouheyre
Vía Turonensis 2013
10 Etape
Dimanche 28 Juillet 2013
Cayac à Labouheyre
6h40 à 12h30 (77.50 Kms théorique)
73.64kms – 4h35 de selle
Moyenne de pédalage: 16.90 km/h – 17°/32°
Cumul des dénivelés : +391m / –341m Pente maximale : +5.4% / –4.1%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
J'ai passé une bonne nuit dans mon gîte de Cayac. Comme d'habitude, je pars aux aurores. On avance en saison, et les jours commencent à raccourcir.
Aujourd'hui, je randonne dans les pins. Un peu frais ce matin, 17°, et du brouillard.
Le chemin passe par de petites routes bien sympathiques. Au vingtième kilomètres après Cayac, je suis sur une piste blanche droite à tirer au cordeau. Pas âme qui vive, pas un coup de vent je suis vraiment seul et je me régale de ce parcours.
Au fur et à mesure que j'avance, je respire les senteurs des sous-bois. Au loin un chevreuil traverse, il n'y a pas de doute, je suis dans un paradis, ou plus exactement dans le parc de La Lande.
Aujourd'hui, je randonne dans les pins. Un peu frais ce matin, 17°, et du brouillard.
Le chemin passe par de petites routes bien sympathiques. Au vingtième kilomètres après Cayac, je suis sur une piste blanche droite à tirer au cordeau. Pas âme qui vive, pas un coup de vent je suis vraiment seul et je me régale de ce parcours.
Au fur et à mesure que j'avance, je respire les senteurs des sous-bois. Au loin un chevreuil traverse, il n'y a pas de doute, je suis dans un paradis, ou plus exactement dans le parc de La Lande.
Je traverse Belin-Béliet pour finalement longer l'autoroute sur plusieurs kilomètres, où ça circule pas mal. Normal en juillet, c'est les vacances, il y a un chassé-croisé ce dimanche. Je quitte cette autoroute, tout au moins les abords, pour traverser le village d'Houssay.
Puis vient le tour de Pissos où je fais une halte pour du ravitaillement dans un petit magasin Carrefour ouvert le dimanche matin bien pratique pour nous pèlerins.
Je quitte Pissos pour prendre sur ma droite un chemin de sable catastrophique pour m'y déplacer à VTT. J'ai pourtant des pneus très larges, rien n'y fait je suis toujours pied à terre. Je m'enlise, je pars en crabe, parcours très technique et casse-gueule aussi.
Puis vient le tour de Pissos où je fais une halte pour du ravitaillement dans un petit magasin Carrefour ouvert le dimanche matin bien pratique pour nous pèlerins.
Je quitte Pissos pour prendre sur ma droite un chemin de sable catastrophique pour m'y déplacer à VTT. J'ai pourtant des pneus très larges, rien n'y fait je suis toujours pied à terre. Je m'enlise, je pars en crabe, parcours très technique et casse-gueule aussi.
Chat échaudé craint l'eau froide, je décide de décaler un pied pour commencer, puis les deux tellement c'est impraticable. Je ne refais pas l'erreur de Bordeaux, j'ai compris la leçon. J'avance à 5 km/h, ma roue avant part souvent en crabe.
Je hais ce chemin sablonneux. Parcours très technique et tout ça pendant une huitaine de kilomètres, très physique pour les cuisses, qui au bout de 8 jours, réagissent finalement pas si mal.
J'arrive finalement au gîte pèlerin de Labouheyre. Les maîtres des lieux ne prennent malheureusement pas les cyclistes. Une personne vient gentiment me rediriger dans un autre hébergement, un secours catholique l'Arc en Ciel à 1 km de là.
Gîte tranquille, pas loin de la voie ferrée où les trains passent souvent, mais avec les fenêtres fermées cela reste acceptable.
J'arrive finalement au gîte pèlerin de Labouheyre. Les maîtres des lieux ne prennent malheureusement pas les cyclistes. Une personne vient gentiment me rediriger dans un autre hébergement, un secours catholique l'Arc en Ciel à 1 km de là.
Gîte tranquille, pas loin de la voie ferrée où les trains passent souvent, mais avec les fenêtres fermées cela reste acceptable.