13 Etape : Puebla-de-Sanabria à A Gudiña
Camino Sanabrés 2015
13 Etape
Jeudi 28 Mai 2015Puebla-de-Sanabria à A-Gudiña
6h15 à 12h05 (55.24 Kms théorique)55.27kms – 4h36 de selle
Moyenne de pédalage: 12.02 km/h - 4°/20°
Cumul des dénivelés : +1383m / –1309m Pente maximale : +20.3% / –18.1%

Je suis réveillé de bonne heure ce matin et pour cause, il y avait deux gros pèlerins et gros ronfleurs surtout. Ils faisaient un tel raffut tous les deux que le voisin de lit du dessous était parti dormir sur le plan de travail de la cuisine, c’est pour dire.
J’ai dormi par tranche de 2 à 3h. Quant aux boules Quies, je ne peux pas dormir avec. Donc ce matin j’étais en selle à 6h15, et il faisait encore brun.
J’ai dormi par tranche de 2 à 3h. Quant aux boules Quies, je ne peux pas dormir avec. Donc ce matin j’étais en selle à 6h15, et il faisait encore brun.
Ça tombait bien, une grosse journée m’attendait avec plusieurs sommets à franchir.
Une fois passé le pont qui enjambe le rio Tera, belle montée pour sortir de la ville. Je suis sur une petite route, je passe sous la voie ferrée à Pedralba-de-la-Praderia d'où je rejoins la N-525 quelques kilomètres plus loin.
Je suis à Requéjo, chemin tout en montée. Après 5.7 kms d’ascension je quitte la N-525 pour une petite route de montagne passant sous le viaduc de Los-Tornos de l’autoroute. Je fais une boucle en épingle à cheveux et je repasse sous l’autoroute. Je suis à plus de 1300m d'altitude, la vue d’ici est imprenable, il y règne un silence total.
Une fois passé le pont qui enjambe le rio Tera, belle montée pour sortir de la ville. Je suis sur une petite route, je passe sous la voie ferrée à Pedralba-de-la-Praderia d'où je rejoins la N-525 quelques kilomètres plus loin.
Je suis à Requéjo, chemin tout en montée. Après 5.7 kms d’ascension je quitte la N-525 pour une petite route de montagne passant sous le viaduc de Los-Tornos de l’autoroute. Je fais une boucle en épingle à cheveux et je repasse sous l’autoroute. Je suis à plus de 1300m d'altitude, la vue d’ici est imprenable, il y règne un silence total.
Le chemin s’enchaîne par des lacets et repasse par-dessus le tunnel de l’autoroute en suivant celle-ci jusqu’à Padornelo, où je retrouve un bout de N-525. Quelques kilomètres après le village, je quitte la nationale, le chemin se fait en descente passant par Aciberos.
Les 3 kms de sentier jusqu’à Lubian sont très techniques, beaucoup de poussage sur des passages escarpés tout en montée et descente difficile avec parfois, pierres et rochers.
Après Lubian, le chemin se fait plus doux, serpentant autour de l'autoroute en passant à côté de Las-Hedradas en montée.
Après Lubian, le chemin se fait plus doux, serpentant autour de l'autoroute en passant à côté de Las-Hedradas en montée.
L’étape d'aujourd'hui a été la plus dure et une des plus courtes aussi, avec des passages à plus de 1370m et un panorama extraordinaire.
L’albergue est à l’entrée de la ville, à droite en passant sous la voie ferrée. Après la douche, restauration et lavage, une petite sieste et prise de note de la journée.
Mais je suis interloqué quand je vis un des fameux gros ronfleurs Italiens d’hier soir. Il était à pied et avait fait la même distance que moi qui suis à VTT, soit plus de 55 kms en un peu plus de 7h. Impossible à pied, surtout l’étape d’aujourd'hui !
L’albergue est à l’entrée de la ville, à droite en passant sous la voie ferrée. Après la douche, restauration et lavage, une petite sieste et prise de note de la journée.
Mais je suis interloqué quand je vis un des fameux gros ronfleurs Italiens d’hier soir. Il était à pied et avait fait la même distance que moi qui suis à VTT, soit plus de 55 kms en un peu plus de 7h. Impossible à pied, surtout l’étape d’aujourd'hui !
Je ne vous dis pas la tête qu’il a faite en me voyant là devant lui, faisant même mine de ne pas me reconnaître. Il faisait sûrement partie de cette catégorie de pèlerins, qui prennent le bus quand ça les arrange. Et moi qui croyais être débarrassé de ce ronfleur indélicat, et bien non !