2 Etape Lebrija à Sevilla
Vía Augusta 2015
2 Etape
Dimanche 17 Mai 2015Lebrija à Sevilla
7h32 à 13h07 (71.08 Kms théorique)74.52kms – 4h29 de selle
Moyenne de pédalage: 16,62 km/h - 19°/35°
Cumul des dénivelés : +428m / –441m Pente maximale : +6.5% / –4.9%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
J’ai bien récupéré dans mon hôtel après la nuit un peu mouvementée de l’auberge de jeunesse de Cadiz.
Il est 7h30 quand je pars pour l’étape de Sevilla. Il fait beau et doux ce matin, et c’est par une route qu’emprunte la Vía Augusta que je quitte Lebrija pour prendre la direction Las-Cabezas-de-San-Juan.
Je ne vois pas grand monde sur le chemin, à part les riverains qui ne manquent pas de me saluer à chaque fois.
Je traverse Las-Cabezas-de-San-Juan sans problème pour prendre le Camino Coronil chemin blanc très roulant. Je vois derrière moi Las-Cabezas-de-San-Juan toute blanche sur un léger point haut.
Il est 7h30 quand je pars pour l’étape de Sevilla. Il fait beau et doux ce matin, et c’est par une route qu’emprunte la Vía Augusta que je quitte Lebrija pour prendre la direction Las-Cabezas-de-San-Juan.
Je ne vois pas grand monde sur le chemin, à part les riverains qui ne manquent pas de me saluer à chaque fois.
Je traverse Las-Cabezas-de-San-Juan sans problème pour prendre le Camino Coronil chemin blanc très roulant. Je vois derrière moi Las-Cabezas-de-San-Juan toute blanche sur un léger point haut.
Je longe maintenant le canal Del Bajo Guadalquivir, un coup à droite puis à gauche sur près de 12 kms et finalement retraverser celui-ci direction Los-Palacios-y-Villafranca.
Sur le chemin du canal, d’un seul coup trois gros molosses se faisant menaçants ont décidé de me courir après.
Sur le chemin du canal, d’un seul coup trois gros molosses se faisant menaçants ont décidé de me courir après.
Je m’arrête, pas rassuré du tout, en ramassant une grosse pierre pour me défendre et mettre en fuite ces chiens venus de nulle part.
À la sortie de la ville, le chemin reprend une route secondaire jusqu'à Dos-Hermanas. Après le pueblo, je suis toujours sur une route secondaire et le reste du chemin sera quasiment urbain. Sevilla approche tout doucement, j’aperçois déjà la tour appelée Torre Pelli qui pointe le bout de son nez.
À la sortie de la ville, le chemin reprend une route secondaire jusqu'à Dos-Hermanas. Après le pueblo, je suis toujours sur une route secondaire et le reste du chemin sera quasiment urbain. Sevilla approche tout doucement, j’aperçois déjà la tour appelée Torre Pelli qui pointe le bout de son nez.
Une fois à Sevilla, beaucoup de circulation en ce dimanche, j’apprécie grandement mon GPS VTT qui me facilite les traversées des grandes villes, un grand confort.
J'avance doucement dans cette ville mythique, Sevilla. Beaucoup de calèches décorées de fleurs ici aussi, et une multitude de manifestations en tous genres.
Je traverse le pont de San-Telmo qui enjambe la darse du Guadalquivir. Dans la ville, les monuments décorés de leurs architectures si particulières font l’originalité de Sevilla.
J’arrive enfin à l’Albergue où l’hospitalero m’accueille. L’établissement Triana, décoré de ses faïences multicolores, est splendide sur plusieurs niveaux avec terrasse, le top.
J'avance doucement dans cette ville mythique, Sevilla. Beaucoup de calèches décorées de fleurs ici aussi, et une multitude de manifestations en tous genres.
Je traverse le pont de San-Telmo qui enjambe la darse du Guadalquivir. Dans la ville, les monuments décorés de leurs architectures si particulières font l’originalité de Sevilla.
J’arrive enfin à l’Albergue où l’hospitalero m’accueille. L’établissement Triana, décoré de ses faïences multicolores, est splendide sur plusieurs niveaux avec terrasse, le top.
Une fois la douche prise, je m’empresse d’aller visiter cette ville où j’y passe tout l’après-midi. Mon numérique chauffe tellement qu’il n’arrête pas de flasher tous ces monuments, tous plus beaux les uns que les autres.
Le clou du spectacle est bien sûr la cathédrale. Du style gothique, elle est une des plus grandes du monde apparemment avec ses sculptures poussées à l’extrême. J’en fais le tour, elle est vraiment énorme. J’ai voulu entrer pour la visiter, mais la file d’attente était si longue qu’elle m’en a dissuadé. Dommage, je ne verrai pas l’intérieur, je suis frustré.
Je continue à flâner dans Sevilla, ville très vivante. Je suis maintenant devant la darse du Guadalquivir sillonnée par des bateaux-mouches. Je m’attarde devant la tour Torre Del Oro du 13e siècle. Plus loin le théâtre de la Maestranza et les arènes de la Real -Maestranza-de-Caballería de Sevilla. Je m'émerveille toujours de ces nombreuses avenues bordées de jacaranda, un arbre en fleur doté d'une superbe floraison mauve de mai à juillet. Il faudrait plusieurs jours pour visiter cette ville en entier.
Le clou du spectacle est bien sûr la cathédrale. Du style gothique, elle est une des plus grandes du monde apparemment avec ses sculptures poussées à l’extrême. J’en fais le tour, elle est vraiment énorme. J’ai voulu entrer pour la visiter, mais la file d’attente était si longue qu’elle m’en a dissuadé. Dommage, je ne verrai pas l’intérieur, je suis frustré.
Je continue à flâner dans Sevilla, ville très vivante. Je suis maintenant devant la darse du Guadalquivir sillonnée par des bateaux-mouches. Je m’attarde devant la tour Torre Del Oro du 13e siècle. Plus loin le théâtre de la Maestranza et les arènes de la Real -Maestranza-de-Caballería de Sevilla. Je m'émerveille toujours de ces nombreuses avenues bordées de jacaranda, un arbre en fleur doté d'une superbe floraison mauve de mai à juillet. Il faudrait plusieurs jours pour visiter cette ville en entier.
Mais il faut bien rentrer, je profite de la vue imprenable sur le pont de San-Telmo où j’aperçois en face de moi le Pont Isabelle II ou Pont Triana et derrière la tour Torre Pelli. C'est à Sevilla que prend fin la Via Augusta et où commence la Via de la Plata.
Demain est un autre jour et dans mon Albergue, après m’être couché, j’essaie de m’endormir avec toutes ces images qui défilent. Nous sommes deux dans la chambrée et je suis constamment réveillé par l’arrivée de pèlerins à l’accueil tout à côté.
Finalement un dernier pèlerin Français arrive vers 22h. On discute un peu, il a 73 ans et part lui aussi faire la Vía de la Plata.
Demain est un autre jour et dans mon Albergue, après m’être couché, j’essaie de m’endormir avec toutes ces images qui défilent. Nous sommes deux dans la chambrée et je suis constamment réveillé par l’arrivée de pèlerins à l’accueil tout à côté.
Finalement un dernier pèlerin Français arrive vers 22h. On discute un peu, il a 73 ans et part lui aussi faire la Vía de la Plata.