2 Etape : Villena à Pétrola

Vía del Sureste 2017
2 Etape
Dimanche 09 Juillet 2017
Villena à Pétrola
74.80kms – 6h22 de selle
Moyenne de pédalage: 11.72 km/h - 21°/41°
Cumul des dénivelés : +721m / –366m Pente maximale : +6.9% / –6.5%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
Il est 6h, la sonnerie retentit. J’ai bien récupéré cette nuit et je feignante un peu comme d’habitude. Petit-déjeuner avalé, je pars de bon matin, il est 6h45.
Il fait déjà 21°, je sors de Villena pour longer quelques centaines de mètres l’autoroute et piquer à gauche toute sur des chemins roulants.
Mais un vent de face pas possible vient perturber ce chemin en début d’étape, j’ai l’impression de gravir des pentes tellement il souffle.
Après 8 kms de Villena, je quitte la Comunidad Valenciana pour entrer en Castilla-La- Mancha.
La rencontre d’un jogger Espagnol quelques kilomètres avant Caudete rompt un peu la monotonie du chemin. On discute un peu. Ça fait toujours plaisir, car je n’avais vu personne jusqu'à maintenant. La via del Sureste me paraît plus sauvage que la via de la Plata faite en 2015.
J’arrive à Caudette, je me désaltère dans un bar avec une bonne boisson bien fraiche.
Une bonne montée pour sortir de la ville, et me voilà sur une piste pas très roulante avec beaucoup de pierre assez casse-gueule.
Je quitte un court instant la Castilla-La Mancha pour entrer en Región de Murcia.
Une bonne montée pour sortir de la ville, et me voilà sur une piste pas très roulante avec beaucoup de pierre assez casse-gueule.
Je quitte un court instant la Castilla-La Mancha pour entrer en Región de Murcia.
Le chemin est toujours en légère montée, et toujours ce maudit vent de face. Je quitte la piste pour une petite route.
Après un passage éclaire d'une quinzaine de kilomètres, j'entre à nouveau en Castilla-La Mancha.
Montéalegre, où je me désaltère à nouveau dans un bar. J'en profite pour le plein en eau. C’est dimanche, un mercadona était ouvert à proximité, j’en profite pour un ravitaillement en nourriture, car il n’y a rien à Pétrola. Après la sortie de la ville, je reprendre une piste au lieu-dit La Higuera.
Depuis Caudette, il y a une trentaine kilomètres avant le prochain village de
Montéalegre, où je me désaltère à nouveau dans un bar. J'en profite pour le plein en eau. C’est dimanche, un mercadona était ouvert à proximité, j’en profite aussi pour un ravitaillement en nourriture, car il n’y a rien à Pétrola.
Il reste vingt cinq kilomètres, et une succession de montée et de descente avec ce vent comme compagnon d’infortune. Plus loin, je traverse un parc éolien avec de belles montées sur plus de trois kilomètres.
Montéalegre, où je me désaltère à nouveau dans un bar. J'en profite pour le plein en eau. C’est dimanche, un mercadona était ouvert à proximité, j’en profite aussi pour un ravitaillement en nourriture, car il n’y a rien à Pétrola.
Il reste vingt cinq kilomètres, et une succession de montée et de descente avec ce vent comme compagnon d’infortune. Plus loin, je traverse un parc éolien avec de belles montées sur plus de trois kilomètres.
Je suis maintenant devant une longue piste blanche droite de plus de six kilomètres, en majeure partie descendante avec trois ou quatre montées vachardes à mi-chemin.
Je suis à quelques kilomètres de Pétrola que je ne vois toujours pas derrière les collines.
Je suis à quelques kilomètres de Pétrola que je ne vois toujours pas derrière les collines.
Me voilà enfin sur la place de l’église après six heures de selle. L’albergue qui jouxte l’édifice est fermé. Je demande à une passante où l’on peut se procurer les clés, elle m’emmène à deux pas de-là chez le responsable des lieux.
L’albergue est grand et dispose de quatre lits et trois matelas. Il n’y a pas de coin cuisine ni de douche, juste un lavabo et un WC, comme au bon vieux temps.
Après le décrassage des fringues, du bonhomme et un peu de repos, diner au bar du coin où il n’y a vraiment pas grand monde, comme dans mon albergue où je suis encore une fois seul.
Hôtel : Albergue Parroquial ++ / ++++
L’albergue est grand et dispose de quatre lits et trois matelas. Il n’y a pas de coin cuisine ni de douche, juste un lavabo et un WC, comme au bon vieux temps.
Après le décrassage des fringues, du bonhomme et un peu de repos, diner au bar du coin où il n’y a vraiment pas grand monde, comme dans mon albergue où je suis encore une fois seul.
Bilan de la journée : une étape avec des difficultés moyennes, accentué par un vent de face en début de parcours, et sans difficultés particulières en deuxième moitié d'étape.
Hôtel : Albergue Parroquial ++ / ++++
Vidéo suivi aérien de ma trace GPS de l'étape du jour