24 Etape : Sobrado à SANTIAGO
Camino del Norte 2013
24 Etape
Dimanche 11 Août 2013
Sobrado à SANTIAGO
6h45 à 10h34 (60.73Kms théorique)
60.53kms – 3h35 de selle
Moyenne de pédalage: 17.00km/h – 17°/21°
Cumul des dénivelés : +922m / –1171m Pente maximale : +11.2% / –11.8%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
Hier soir, les pèlerins n'étaient pas pressés d'aller se coucher, alors il y avait beaucoup de monde dans la cour intérieure du monastère.
Ce matin, réveillé par les premiers debout, je ne tarde pas à me lever à mon tour. Mon petit déjeuner pris, mon vélo prêt, je m'apprête à l'enfourcher quand j'entends un petit bruit de tige de fer.
Ce matin, réveillé par les premiers debout, je ne tarde pas à me lever à mon tour. Mon petit déjeuner pris, mon vélo prêt, je m'apprête à l'enfourcher quand j'entends un petit bruit de tige de fer.
Et bien c'était le travail salopé de ce réparateur merde qui venait de tomber. Heureusement que le rayon est tombé avant de partir, car il aurait pu faire des dégâts en route.
Me voilà reparti pour la dernière journée d'un périple de 24 jours. Je ne vois pas grand-chose, je redouble de prudence et je vais doucement. L'étape est roulante mais que de pèlerins il en sort de partout. Nous sommes en août, ils affluent de toutes parts. Je suis à Azua, là où la Vía del Norte rejoint le Camino Francés, donc encore plus de pèlerins.
Je vois les avions décoller, je suis près de l'aéroport. Celui-ci contourné, je ne suis plus très loin de Santiago. Encore une dizaine de kilomètres.
Cette dernière portion de chemin m'a paru très longue vu les petites routes en lacet et ces montées assez casse-pattes.
Maintenant, c'est une marée humaine sur le chemin. Il faut jouer de la sonnette, il y en a vraiment partout et encore une fois je suis surpris par la jeunesse de ceux-ci.
Je vois les avions décoller, je suis près de l'aéroport. Celui-ci contourné, je ne suis plus très loin de Santiago. Encore une dizaine de kilomètres.
Cette dernière portion de chemin m'a paru très longue vu les petites routes en lacet et ces montées assez casse-pattes.
Maintenant, c'est une marée humaine sur le chemin. Il faut jouer de la sonnette, il y en a vraiment partout et encore une fois je suis surpris par la jeunesse de ceux-ci.
Me voici à Santiago, sensation différente de la première fois. Petite photo oblige devant le panneau de Santiago par un pèlerin qui traînait dans le coin.
Content de l'avoir terminé, je l'avoue, car trois semaines sans interruption, les cuisses commençaient à être douloureuses.
Je me fais enregistrer comme d'habitude au Seminario Menor et je laisse mon vélo au rez-de-chaussée, mais je ne suis pas tranquille.
Comme j'ai pris une chambre individuelle pour quelques euros de plus, une petite idée me vient quand toutes les femmes de ménage sont parties.
Hop ni vu ni connu, mon vélo sur le dos, je grimpe les trois étages. Je ne serai pas seul ce soir dans ma chambre, je suis rassuré, vous ne pouvez pas savoir.
Content de l'avoir terminé, je l'avoue, car trois semaines sans interruption, les cuisses commençaient à être douloureuses.
Je me fais enregistrer comme d'habitude au Seminario Menor et je laisse mon vélo au rez-de-chaussée, mais je ne suis pas tranquille.
Comme j'ai pris une chambre individuelle pour quelques euros de plus, une petite idée me vient quand toutes les femmes de ménage sont parties.
Hop ni vu ni connu, mon vélo sur le dos, je grimpe les trois étages. Je ne serai pas seul ce soir dans ma chambre, je suis rassuré, vous ne pouvez pas savoir.
Après avoir déjeuné en ville et ne pouvant pas faire valider pour l'instant ma Compostela pour cause d'une file d'attente d'au moins 2h, je reviens à l'Albergue quelque temps pour une petite sieste.
La fin de journée est passée à flâner pour quelques achats de souvenirs et faire finalement valider ma Compostela.
La fin de journée est passée à flâner pour quelques achats de souvenirs et faire finalement valider ma Compostela.
Connaissant Santiago depuis mon dernier Compostelle en 2011, c'est toujours avec plaisir que je marche dans les rues, étant imprégné de ce voyage d'environ 1700 kms depuis 24 jours, et je ne loupe pas pour la deuxième fois la visite de la cathédrale bien sûr.