3 Etape : Châteaudun à Château-Renault
Vía Turonensis 2013
3 Etape
Dimanche 21 Juillet 2013
Châteaudun à Château Renault
6h15 à 12h30 (82.20 Kms théorique)
85kms – 5h00 de selle
Moyenne de pédalage: 16.50 km/h - 18°/42°
Cumul des dénivelés : +798m / –806m Pente maximale : +12.4% / –9.1%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
Comme d'habitude, je ne trouve pas le sommeil de suite, normal la veille d'un départ de Compostelle. Je cogite, ai-je bien tout pris, rien oublié !
Cette année est un peu particulière puisque qu'il y a deux départs et pour cause, des petits problèmes fessiers heureusement résolus aujourd'hui m'avaient obligé à reporter mon périple de plusieurs semaines.
Il fait tout juste jour quand j'enfourche mon VTT pour ce second départ, il fait encore frais, 18° s'affiche sur mon compteur. La météo n'a plus rien à voir avec mon premier départ du 31 mai.
Cette année est un peu particulière puisque qu'il y a deux départs et pour cause, des petits problèmes fessiers heureusement résolus aujourd'hui m'avaient obligé à reporter mon périple de plusieurs semaines.
Il fait tout juste jour quand j'enfourche mon VTT pour ce second départ, il fait encore frais, 18° s'affiche sur mon compteur. La météo n'a plus rien à voir avec mon premier départ du 31 mai.
En ce moment, c'est la canicule, je suis passé d'un extrême à l'autre.
Donc cette chaleur m'oblige à partir le plus tôt possible pour profiter au maximum de la fraîcheur du matin, car l'après-midi, très difficile de tenir sur le vélo avec cette météo.
Donc cette chaleur m'oblige à partir le plus tôt possible pour profiter au maximum de la fraîcheur du matin, car l'après-midi, très difficile de tenir sur le vélo avec cette météo.
La sortie de Châteaudun se fait sans problème et je suis très vite à Douy puis Cloyes en longeant le Loir. Celui-ci serpente jusqu'à Vendôme pour traverser la ville. Il est 10h et 51 kms s'affichent déjà sur mon compteur et la température grimpe il fait 30°, ça commence à cogner sec, déjà 3 litres d'eau engloutis et ce n'est que le début.
Je prends un chemin de terre quand je suis interpellé par un agriculteur du coin me demandant où j'allais. Ne me laissant à peine le temps de lui répondre, c'est privé, me dit-il. Mon GPS ne sachant pas encore reconnaître les chemins privés, je lui fais comprendre que je fais le chemin de Compostelle, mais ne veux rien savoir.
Je prends un chemin de terre quand je suis interpellé par un agriculteur du coin me demandant où j'allais. Ne me laissant à peine le temps de lui répondre, c'est privé, me dit-il. Mon GPS ne sachant pas encore reconnaître les chemins privés, je lui fais comprendre que je fais le chemin de Compostelle, mais ne veux rien savoir.
On discute et je lui fais comprendre que moi aussi je suis issu d'un milieu agricole et peu à peu un dialogue s'instaure. Il y avait peu de chance que je lui défonce ses chemins de traverse avec mon vélo vu la chaleur ce jour-là.
Par la suite, il me confiait que lui aussi finalement aimerait bien faire Compostelle et c'est finalement sans difficulté qu'il m'autorise à emprunter ses chemins. Comme quoi le dialogue…
Après toutes ces émotions, j'arrive à mon gîte par une chaleur étouffante. Cela tombait bien je n'avais plus d'eau, j'en étais à mon cinquième litre.
Je vais chercher les clés à l'accueil de la piscine d'à côté et je resterai seul dans ce gîte le restant de la journée.
Après toutes ces émotions, j'arrive à mon gîte par une chaleur étouffante. Cela tombait bien je n'avais plus d'eau, j'en étais à mon cinquième litre.
Je vais chercher les clés à l'accueil de la piscine d'à côté et je resterai seul dans ce gîte le restant de la journée.