4 Etape : Granada (Jour de repos, visite de l'alhambra)

Le Camino Mozárabe 2021

4 Etape

Samedi 05 Juin 2021
Granada
(Jour de repos)

(Visite de l'Alhambra)



Mon Hébergement

                                                                                           

Granada
Hier, Une fois arrivé à mon hôtel à Santiago, je laissais ma voiture dans le parking privé de l’hôtel. Le lendemain matin par un temps radieux, je prenais la route à nouveau pour Alicante lieu de départ de la via del Sureste avec mon véhicule de location.
A mi-chemin sur le trajet aux alentours de Madrid, j’étais tombé dans un orage où il tombait des cordes, un vrai déluge, de gros grêlons et parfois l’autoroute inondée, m’obligeait à rouler au pas.
Cet orage dura pendant une centaine de kilomètres. Les champs aux abords étaient gorgés d’eau. J’étais un peu inquiet pour le lendemain, car les chemins risquaient d’être impraticable dans un état pas possible.

Arrivé à Alicante, la météo était plus clémente, 27°, je reprenais espoir. Je prenais possession de mon hôtel à deux pas d'où j’avais laissé mon véhicule de location. Le soir même, restaurant copieux pour prendre des forces pour le lendemain.
Trois heures plus tard, je sors de ce magnifique palais avec des étoiles plein les yeux, tellement la visite a été grandiose, et un maximum de photos pour immortaliser cette matinée. 

Le reste de la journée est consacré à la visite de Granada, ses rues piétonnes, sa Cathédrale et autres monuments. Le soir, je vais dîner dans un petit restaurant dans les rues piétonnes de la ville.


  • Bilan de la journée :   
  • Aujourd'hui était un jour de repos que j’ai mis à profit pour visiter l’Alhambra de  Granada.                                                                                                                     La visite a été grandiose à la vue de cette enceinte fortifiée, ensemble palatial de l'architecture islamique. L’Alcazaba, les palais Nasrides, le Généralife et ses jardins, et le palais de Charles Quint.
  • Albergue : Hostal Azahar    
Caja Rural de Granada
Catedral de la Encarnación en Granada
Catedral de la Encarnación en Granada
Catedral de la Encarnación en Granada

Ci-dessous visite en photos de l'Alhambra de Granada

De retour à l’hôtel, dernier coup d’œil sur l’étape du lendemain, le GPS, les traces, les cartes, tout était ok. J’avais dormi tranquille, le responsable de l’hôtel avais bien voulu me laisser monter mon VTT dans ma chambre, j’étais serin. Après l’extinction des feux, je me promettais de faire de beaux rêves.

J’ai dormi comme une masse. Sonnerie à 6h, je faignante un peu. Il est déjà 6h15. Je descends mon vélo par l’ascenseur. Une fois dehors, activation du GPS et je pars pour un périple de 1100 kilomètres.
Je n’ai pas eu trop le temps de visiter Alicante hier soir, je suis arrivé trop tard, un peu dommage car la ville valait certainement le coup d’œil, surtout du côté du port.

Sorti d’Alicante assez facile, mais déjà de belles montées. J’ai voulu suivre le chemin au plus fidèle de la via del Sureste, mais c’était sans compter sur les difficultés de celui-ci par endroit.
Après une dizaine de kilomètres d’Alicante, le chemin passait en pied de montagne par des endroits pas possible réservé aux piétons mais surtout pas au vététiste que je suis, avec des escalades de rocher impossible à vélo. J’ai dû rebrousser chemin.
Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

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Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

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Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

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Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
Je croise des vététistes Espagnols maintenant qui prennent des variantes cyclo qui n’arrêtent pas de monter, je fais comme eux.

Non loin de la Serra de Sant Pasqual, je ne prends pas le petit détour qui monte à VTT à l’Hermita de Sant Pasqual d’où l’on doit avoir une très belle vue. Il faut se taper une grimpette pas possible sur plus de cinq cents mètres à plus de 15%, je suis trop usé, et l’étape est loin d’être terminée.

Plus loin, beaucoup de passerelles qui enjambent de belles vallées, sont grilagées et cadenassées, pourquoi cette absurdité je ne sais pas. Je suis obligé de descendre ses vallées encaissées avec ma monture, de déposer le sac à dos, la valisette de vélo et de faire des allers-retours pour chaque passage.

Avec une dizaine de passerelles et la chaleur qui monte, je suis épuisé en ayant fait qu’une quinzaine de kilomètres en deux ou trois heures. 
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