6 Etape: Lascabanes à Auvillar
Vía Podiensis 2011
6 Etape
Lundi 23 Mai 2011
Lascabanes à Auvillar
7h30 à 15h15 (68Kms théorique)
76kms – 4h35 de selle
Moyenne de pédalage: 16.58 km/h
J'ai passé une excellente nuit avec "mes trois femmes belges". C'est par un bon petit-déjeuner, qui fait toujours la stupéfaction de mes amis pèlerins voyant ce que je mange le matin, que je commence la journée.
Je quitte donc Lascabanes par une petite route et me voilà déjà arrivé à Montcuq où là, belle montée pour en ressortir.
Il est vrai qu'étant en autonomie totale pour la nourriture, je maîtrise mieux ma diététique et je ne lésine pas sur les sucres lents.
Donc une fois mon petit-déjeuner englouti, ma monture sellée, c'est avec courage que je vais affronter cette nouvelle journée pour une sixième étape qui me mènera jusqu'à Auvillar.
Donc une fois mon petit-déjeuner englouti, ma monture sellée, c'est avec courage que je vais affronter cette nouvelle journée pour une sixième étape qui me mènera jusqu'à Auvillar.
Je quitte donc Lascabanes par une petite route et me voilà déjà arrivé à Montcuq où là, belle montée pour en ressortir.
Je continue sur Montlauzun, non loin du château où je prends une variante route qui m'emmène à Lauzerte. Je ne rentre pas dans le village, je passe à proximité de celui-ci. Chemin toujours bien roulant, je me dirige maintenant vers Dufort-Lacapelette, puis 13 kms plus loin Moissac, jolie ville où je traverse une rue piétonne sympathique, je fais une pause.
Je sors de la ville en longeant le Tarn, magnifique et très roulant.
Je suis maintenant entre le canal de Golfeck et le canal de la Garonne, des kilomètres de chemins blancs au bord de l'eau et à l'ombre des platanes centenaires, un bonheur, je décompresse totalement.
Je suis maintenant entre le canal de Golfeck et le canal de la Garonne, des kilomètres de chemins blancs au bord de l'eau et à l'ombre des platanes centenaires, un bonheur, je décompresse totalement.
Je quitte le canal à Pommevic en enjambant celui-ci pour arriver à Espalais juste avant le fleuve.
L'arrivée à Auvillar est grandiose en empruntant le pont suspendu de la Garonne.
Mais le village d'Auvillar se mérite car il faut aller le chercher par une grimpette pas possible. Mais une fois en haut, la récompense, une vue à tomber. Tout est démesuré, même le gîte est à tomber par terre. Sans nul doute le plus beau gîte rencontré sur le chemin jusqu'à ce jour.
Je visite Auvillar et je tombe sur un très beau bâtiment, une belle halle aux grains magnifique. Sur la place beaucoup de monuments de briques rouges avec leurs arcades au rez-de-chaussée pour beaucoup d'entre eux. Plus loin l'horloge n'est pas mal non plus. Je ne me lasse pas de flâner dans ces rues.
Mais le village d'Auvillar se mérite car il faut aller le chercher par une grimpette pas possible. Mais une fois en haut, la récompense, une vue à tomber. Tout est démesuré, même le gîte est à tomber par terre. Sans nul doute le plus beau gîte rencontré sur le chemin jusqu'à ce jour.
Je visite Auvillar et je tombe sur un très beau bâtiment, une belle halle aux grains magnifique. Sur la place beaucoup de monuments de briques rouges avec leurs arcades au rez-de-chaussée pour beaucoup d'entre eux. Plus loin l'horloge n'est pas mal non plus. Je ne me lasse pas de flâner dans ces rues.
De mon gîte tout en hauteur, très beau point de vue sur la campagne environnante, d'où je peux aussi admirer la Dordogne qui passe en contrebas.