6 Etape : Merida à Caceres
Vía de la Plata 2015
6 Etape
Jeudi 21 Mai 2015Mérida à Caceres
6h41 à 14h (73.16 Kms théorique)75.34kms – 5h34 de selle
Moyenne de pédalage: 13.53 km/h - 14°/26°
Cumul des dénivelés : +879m / –651m Pente maximale : +10.6% / –7.4%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
Je suis réveillé de bonne heure ce matin par 5 à 6 Espagnols qui étaient arrivés hier à midi et ce levant à 5h du matin pour partir un quart d’heure après. Je ne sais pas si l’on peut appeler ça faire le chemin de Compostelle ou la course aux albergues,
personnellement j’ai mon opinion !
Étant réveillé moi-même par la force des choses, je me lève à mon tour. Finalement, mon dos va mieux ce matin, les anti-inflammatoires et la pommade ont été efficaces, mais il reste encore fragile. Je vais en prendre encore pendant 3 à 4 jours.
Étant réveillé moi-même par la force des choses, je me lève à mon tour. Finalement, mon dos va mieux ce matin, les anti-inflammatoires et la pommade ont été efficaces, mais il reste encore fragile. Je vais en prendre encore pendant 3 à 4 jours.
Plus loin, je traverse un secteur assez sauvage, où le chemin devient technique par endroit. Je passe sous l’autoroute, et après quelques kilomètres, je traverse le petit village d’Aljucen.
Après avoir traversé le río Aljucén, je tourne à droite au niveau de la station-service pour traverser une zone sauvage avec quelques raidillons casse-patte jonchés de portions caillouteuses en légère montée.
Je suis dans le Parque Natural de Embalse-de-Cornalvo-y-Sierra-Bermeja. Secteur très sauvage où je ne vois personne ou presque, dont un couple de Français. Beaucoup de barrières à ouvrir et à refermer. Je traverse plusieurs troupeaux de moutons. Quelques poussettes encore pour me retrouver sur un chemin plus plat jusqu'à Alcuéscar.
Après avoir traversé le río Aljucén, je tourne à droite au niveau de la station-service pour traverser une zone sauvage avec quelques raidillons casse-patte jonchés de portions caillouteuses en légère montée.
Je suis dans le Parque Natural de Embalse-de-Cornalvo-y-Sierra-Bermeja. Secteur très sauvage où je ne vois personne ou presque, dont un couple de Français. Beaucoup de barrières à ouvrir et à refermer. Je traverse plusieurs troupeaux de moutons. Quelques poussettes encore pour me retrouver sur un chemin plus plat jusqu'à Alcuéscar.
À la sortie du village, je tourne à gauche toute et je prends la direction Casa-don-Antonio. Je longe juste avant l’embalse d’Ayuela. Plus loin je me retrouve sur la nationale avant d'arriver à Aldea-del-Cano que l’on évite.
Le chemin suit maintenant la nationale pendant 500m avant de s'en écarter légèrement. Après plusieurs kilomètres de piste, je me retrouve à nouveau sur 2 kms de route pour la quitter encore une fois jusqu'à Caceres.
Je suis sur une voie romaine blanche légèrement en pente douce, chemin assez roulant ça avance, mais toujours ce maudit vent de face depuis plusieurs jours.
Chemin technique par endroit, le vététiste se régale. Valdesalor toute petite bourgade où je me pose pour le déjeuner bien mérité.
Chemin technique par endroit, le vététiste se régale. Valdesalor toute petite bourgade où je me pose pour le déjeuner bien mérité.
Le chemin suit maintenant la nationale pendant 500m avant de s'en écarter légèrement. Après plusieurs kilomètres de piste, je me retrouve à nouveau sur 2 kms de route pour la quitter encore une fois jusqu'à Caceres.
Très compliqué pour accéder à mon Albergue, heureusement que je suis équipé d’un GPS. La montée dans Caceres est un peu ardue, le quartier historique vaut la visite.
Je partage l’albergue avec un Italien et un Français blessé au pied, mais sa blessure est en voie de guérison.
Plus tard, en visite dans la ville et faisant une photo, je pestais tout seul quand un passant me boucha la vue au moment du clic. Mon commentaire ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd quand un autre passant comprit que j’étais Français. Nous sympathisons et échangeons donc quelques mots.
Je partage l’albergue avec un Italien et un Français blessé au pied, mais sa blessure est en voie de guérison.
Plus tard, en visite dans la ville et faisant une photo, je pestais tout seul quand un passant me boucha la vue au moment du clic. Mon commentaire ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd quand un autre passant comprit que j’étais Français. Nous sympathisons et échangeons donc quelques mots.
Il était parti de chez lui à vélo, était allé à Lisbonne au Portugal, faisait des portions de la Vía de la Plata, bref il avait plus de 2500 kms au compteur. Il était parti deux mois. Nous finissons par échanger nos blogs, c’est ça aussi le chemin de Compostelle.