7 Etape : Santa Cruz à Villaharta

Le Camino Mozárabe 2021
7 Etape
Mardi 08 Juin 2021
Santa Cruz à Villaharta
61.80kms – 4h53 de selle
Moyenne de pédalage: 9.51 km/h - 18°/46°
Cumul des dénivelés : +1335m / –1029m Pente maximale : +17.1% / –13.8%
Ma Trace GPXMa Trace KMLAltitude de l'EtapeMon Hébergement
C’est par une petite route montante au milieu des oliviers que je quitte mon hôtel vers 7h. Après 6 kilomètres, je prends un chemin de terre sur ma gauche avec un beau raidillon à plus de 10% sur 200 mètres.
C’est une piste caillouteuse et poussiéreuse qui serpente parmi les vallons de ces plaines agricoles qui a remplacé les oliveraies. Je vais suivre ce chemin parfois très roulant, parfois avec de beaux raidillons casse-pattes sur 18 kilomètres jusqu'à Córdoba.
L’arrivée sur la ville située dans une cuvette est magnifique, car j’ai la chance d’avoir une météo idéale pour profiter au maximum de ce panorama. L'entrée dans la ville par le Puente Romano qui enjambe le rio Guadalquivir est majestueuse avec la tour de la Calahorra, forteresse d'origine Almohade située sur la rive gauche du fleuve.
De retour à l’hôtel, dernier coup d’œil sur l’étape du lendemain, le GPS, les traces, les cartes, tout était ok. J’avais dormi tranquille, le responsable de l’hôtel avais bien voulu me laisser monter mon VTT dans ma chambre, j’étais serin. Après l’extinction des feux, je me promettais de faire de beaux rêves.
J’ai dormi comme une masse. Sonnerie à 6h, je faignante un peu. Il est déjà 6h15. Je descends mon vélo par l’ascenseur. Une fois dehors, activation du GPS et je pars pour un périple de 1100 kilomètres.
Sorti d’Alicante assez facile, mais déjà de belles montées. J’ai voulu suivre le chemin au plus fidèle de la via del Sureste, mais c’était sans compter sur les difficultés de celui-ci par endroit.
Je n’ai pas eu trop le temps de visiter Alicante hier soir, je suis arrivé trop tard, un peu dommage car la ville valait certainement le coup d’œil, surtout du côté du port.
Sorti d’Alicante assez facile, mais déjà de belles montées. J’ai voulu suivre le chemin au plus fidèle de la via del Sureste, mais c’était sans compter sur les difficultés de celui-ci par endroit.
Je traverse la ville de Petrer où je me ravitaille en eau. Après la sortie de la ville, le chemin se fait plus plat. Après Sax, ça devient très roulant malgré la chaleur qui n’en finit pas de taper.
Toujours seul sur ses chemins, je ne suis plus très loin de ma fin d’étape qui n’en finit pas, malgré une bonne piste roulant depuis Sax.
Toujours seul sur ses chemins, je ne suis plus très loin de ma fin d’étape qui n’en finit pas, malgré une bonne piste roulant depuis Sax.
J’arrive enfin à Villena très animée comme beaucoup de ville Espagnol.
Comme il n’y avait pas d’albergue, j’avais réservé un petit hôtel à l’entrée de la ville.
Comme il n’y avait pas d’albergue, j’avais réservé un petit hôtel à l’entrée de la ville.
Après le passage à la douche plus qu’obligatoire et un peu de repos bien mérité, l’établissement n’étant pas équipé de cuisine, je me suis taper une bonne platée de spaghetti carbonara à la pizzéria d’à côté pour recharger les batteries qui en avaient bien besoin.
Bilan de la journée: une étape très dure avec des passages difficiles tout en montées et des poussages casse pattes à répétition par une grosse chaleur.
Bilan de la journée: une étape très dure avec des passages difficiles tout en montées et des poussages casse pattes à répétition par une grosse chaleur.
Vidéo suivi aérien de ma trace GPS de l'étape du jour