4 Etape : Almaden-de-la-Plata à Zafra
Vía de la Plata 2015
4 Etape
Mardi 19 Mai 2015Almaden de la Plata à Zafra
7h12 à 15h26 (80.27 Kms théorique)80.57kms – 6h27 de selle
Moyenne de pédalage: 12.49 km/h - 13°/35°
Cumul des dénivelés : +1169m / –1108m Pente maximale : +7.3% / –10.3%

J’ai bien récupéré de la journée éprouvante d’hier. 7h15, je démarre, il fait plus frais ce matin, ce n’est pas plus mal car avec cette grosse chaleur ça épuise.
Je prends une variante route sur 3 kms et ça grimpe sec, tout à gauche pour le braquet.
Les côtes et les descentes s’enchaînent comme hier, que des belles pistes, c’est très sauvage et personne à l’horizon. El-Real-de-la-Jara, je me ravitaille en eau.
A la sortie d’El-Real, je quitte la province de l’Andalucía pour entrer en Extremadura. Toujours par de belles pistes, un régal, mon numérique chauffe à nouveau.
Je prends une variante route sur 3 kms et ça grimpe sec, tout à gauche pour le braquet.
Les côtes et les descentes s’enchaînent comme hier, que des belles pistes, c’est très sauvage et personne à l’horizon. El-Real-de-la-Jara, je me ravitaille en eau.
A la sortie d’El-Real, je quitte la province de l’Andalucía pour entrer en Extremadura. Toujours par de belles pistes, un régal, mon numérique chauffe à nouveau.
Je passe devant la station-service au rond-point, puis sous l’autoroute pour prendre la direction Monesterios, où ravitaillement en eau à nouveau malgré une baisse des températures de 10° par rapport à hier.
En chemin, à l’entrée d’une barrière, un Espagnol à moto tout-terrain me propose un prospectus pour un albergue à Zafra. Il m’explique que je suis maintenant en Extrémadure et que ce ne sont plus des collines assez hautes, mais un panorama de grandes étendues sans arbres qui m’attendent maintenant. La coupure est saisissante.
Encore une fois, je suis arrêté pour immortaliser toutes ces images qui défilent devant moi. La piste est en terre battue, ça accroche bien. Certains passages sont parfois techniques et demandent un peu plus de vigilance, mais je me régale.
À Fuente-de-Cantos, je fais ma pause casse-croûte. À la sortie du village, le chemin est en terre argileuse rouge, parfois avec des graviers, du sable, des pierres, il peut être technique par endroit, attention aux pneus et vigilance contre une éventuelle chute.
Encore une fois, je suis arrêté pour immortaliser toutes ces images qui défilent devant moi. La piste est en terre battue, ça accroche bien. Certains passages sont parfois techniques et demandent un peu plus de vigilance, mais je me régale.
À Fuente-de-Cantos, je fais ma pause casse-croûte. À la sortie du village, le chemin est en terre argileuse rouge, parfois avec des graviers, du sable, des pierres, il peut être technique par endroit, attention aux pneus et vigilance contre une éventuelle chute.
3.4 kms après Calzadilla-de-Los-Barros, le chemin pique à gauche à angle droit. Piste en terre rouge roulante par temps sec, je n'ose imaginer par temps de pluie. Le dernier quart du chemin est plutôt plat, quelques descentes parfois de beaux raidillons où il faut pousser.
Plusieurs rios à traverser où il faut parfois faire le funambule sur des pierres pour éviter la vase et ne pas mouiller ses chaussures.
Le reste du chemin est en légère montée en plus d’un vent de face qui n’arrête pas de souffler depuis 10h du matin, comme si les montées n’étaient pas assez pénibles.
Quand j’arrive à Puebla-de-Sancho-Perez, l’albergue Ermita de Belén qui est à 1.4 kms du centre-ville est fermée, personne à l’horizon et les locaux n’ouvrent pas avant 17h. 2h à attendre, cela ne me dit rien qui vaille, je décide donc de pousser plus loin jusqu'à Zafra sur un de mes albergues de secours 5 kms plus loin.
Le reste du chemin est en légère montée en plus d’un vent de face qui n’arrête pas de souffler depuis 10h du matin, comme si les montées n’étaient pas assez pénibles.
Quand j’arrive à Puebla-de-Sancho-Perez, l’albergue Ermita de Belén qui est à 1.4 kms du centre-ville est fermée, personne à l’horizon et les locaux n’ouvrent pas avant 17h. 2h à attendre, cela ne me dit rien qui vaille, je décide donc de pousser plus loin jusqu'à Zafra sur un de mes albergues de secours 5 kms plus loin.
L’albergue n’est pas mal et même assez luxueux, l'on se croirait dans une suite. Il y a un étage et une terrasse faïencée, où j'ai même le droit d'y monter mon VTT. L’hospitalero, sympathique me propose un café en arrivant.
Il y a plusieurs chambres, je suis pour ma part avec deux Italiens avec qui nous essayons d'échanger malgré la barrière de la langue.
Un petit détail assez marrant au moment de prendre nos douches respectives, nous nous apercevons que nous avons tous les trois les mêmes trousses de toilette.
Un petit détail assez marrant au moment de prendre nos douches respectives, nous nous apercevons que nous avons tous les trois les mêmes trousses de toilette.